Intermittent du spectacle : peut-il faire une facture ?
Intermittent du spectacle : peut-il faire une facture ? Lorsqu’on engage un musicien ou un orchestre comme l’Orchestre Eric André, […]
Intermittent du spectacle : peut-il faire une facture ? Lorsqu’on engage un musicien ou un orchestre comme l’Orchestre Eric André, […]
L’arrivée de l’accordéon au Brésil
L’accordéon au Brésil est bien plus qu’un instrument de musique : c’est un symbole culturel. Introduit au XIXᵉ siècle par les immigrants européens, notamment italiens et allemands, l’accordéon s’est rapidement implanté dans les campagnes comme dans les villes. Sa portabilité et sa capacité à accompagner aussi bien les danses populaires que les chants religieux en ont fait un instrument incontournable.
Hubert Bannwarth n’était pas seulement un compositeur alsacien talentueux, mais aussi un véritable animateur de scène. Toujours vêtu de son célèbre gilet rouge et de son nœud papillon, avec sa « clarinette magique » et son sourire communicatif, il savait capter l’attention du public.
Au-delà des concerts, il organisait des concours de danse de salon, des animations autour du cor des Alpes, ou encore des soirées thématiques qui faisaient le bonheur des spectateurs. Sa recette était simple : une musique de qualité, festive et variée, alliée à une proximité unique avec son public.
L’accordina est un instrument de musique fascinant, à la croisée de l’accordéon et de l’harmonica. Inventé dans les années 1930 par André Borel, son brevet déposé en 1949 portait le nom de Chromatic Harmonicon. Distribué dès 1954 par les établissements Paul Beuscher à Paris, il a connu une belle diffusion jusque dans les années 1970. Aujourd’hui, il revient sur le devant de la scène grâce à des musiciens passionnés comme Eric André, qui intègre ce nouvel instrument à son univers musical.
L’arrivée de l’accordéon à Madagascar au XIXᵉ siècle
L’accordéon est arrivé à Madagascar à la fin du XIXᵉ siècle, introduit par les colons européens, principalement français. Facile à transporter, cet instrument de musique à anches libres a rapidement conquis les musiciens locaux. Dès le début du XXᵉ siècle, il était déjà présent dans les bals coloniaux, les fêtes de villages et les cérémonies traditionnelles.
À l’époque, l’accordéon s’est naturellement imposé aux côtés d’instruments emblématiques de la Grande Île comme le valiha (cithare tubulaire malgache) ou la kabôsy (petite guitare locale).
Le statut d’intermittent du spectacle est souvent méconnu, pourtant il est crucial pour les professionnels de la musique, du théâtre, de la danse et de bien d’autres arts vivants.
La musique folklorique est l’âme d’un territoire. Elle raconte l’histoire d’un peuple, de ses fêtes, de ses joies et de son quotidien. En France, et plus particulièrement dans le Sud-Ouest, le folklore se vit au rythme des bals, des fêtes de village et des rassemblements populaires où les danses traditionnelles comme la bourrée, la scottish, la mazurka ou encore la polka font vibrer les cœurs et les planchers.
Le folklore désigne l’ensemble des traditions orales, musicales, dansées, festives et artisanales d’un peuple ou d’une région.
Le contexte social et économique de l’immigration aveyronnaise à Paris et l’émergence des premiers bals populaires autour de la cabrette et de l’accordéon
L’histoire des guinguettes remonte loin, au XVIIIe siècle, voire avant. À l’origine, ces établissements étaient situés en dehors des murs de Paris, souvent dans des zones rurales ou semi-rurales comme les bords de Marne, la Seine, ou encore dans les villages environnants.